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Nao-Asakura's world
24 février 2008

Stargate Atlantis 4x18 - The Kindred pt 1

Kindred_pt_1___4x18___SGA

Que dire, que dire... Outre le cri de fangirl étranglé à la toute fin, même si je savais pertinemment et depuis un bon moment qu'ils allaient tomber sur un Carson Beckett bien vivant et énervé d'avoir dû les attendre (la question est... combien de temps..? pasque si on part sur une théorie de clonage/substitution par Michael, je vois mal où la mettre à part au cours du 3x2 Misbegotten, et c'était quand même il y a sacrément longtemps!).

Tout d'abord, que quelque chose soit clair : je déteste, je hais, j'abhorre les épisodes à suite. C'est stressant, de se dire tout au long du dit épisode que quoi qu'il arrive on n'aura pas la fin cette fois, que de toute façon des tas d'éléments vont rester dans l'ombre, au moins jusqu'à la semaine prochaine.

Je savais également, avant même de regarder cet épisode, que la partie "retour de Carson Beckett" serait développée dans la seconde moitié de the Kindred (4x19) -- Paul McGillion n'est même pas cité au générique, pour le 4x18, histoire de garder le suspens, même si tous les trailers de Sci-Fi nous ont bien spoilé depuis un moment.
C'est d'ailleurs un des points étonnants de cet épisode, le fait qu'il n'est quasiment pas fait mention de Beckett, bien qu'en même temps tout un tas d'indices y soient disséminés -- la référence à l'expérience sur Hoff, pour développer un "vaccin anti-Wraith" qui tuait la population (1x7), ou encore les petites allusions de Michael au sujet de ses récentes prouesses médicales, "I had help"...

Autrement, l'épisode se focalise principalement sur Teyla et ses recherches pour retrouver son peuple disparu. Les visions qui semblent lui donner des pistes sont sympas, on comprend qu'elle ait envie d'y croire, de se dire qu'il y a encore de l'espoir. Même si personnellement je me doutais que Michael était à l'origine de ces visions, et non pas, comme elle le croit, son petit ami, Kanaan. (A priori seuls les Wraiths et Teyla peuvent communiquer ainsi... Cela dit le raisonnement qui m'a menée à Michael est assez confus.) Aussi le choc de la jeune femme face au père de son futur enfant, transformé (le père, pas l'enfant) en Michael-worshipper, mi Wraith mi humain, est d'autant plus rude.

Du point de vue de la construction, c'est assez répétitif, plein d'aller-retours infructueux de ci de là, à tel point que pour faire passer le tout il a fallu avoir recours à un genre de gag récurrent -- McKay qui se plaint de sauter des repas et qui finit par s'empiffrer dès qu'il finit par en avoir l'occasion, sous le regard réprobateur de Ronon et de Sheppard, alléguant que l'enlèvement de Teyla par Michael n'est pas une excuse pour se laisser mourir de faim.

Point de vue morale et éthique, c'est encore une fois sur la brèche. Mais bon, quand on doit gérer des problèmes de maladie qui se répandent dans toute une galaxie et d'extraterrestres suceurs de vie, on comprend qu'ils ne s'embarrassent pas de quelques détails.
C'était, remarque en passant, intéressant de voir que remontaient à la surface les deux plus grand dilemmes éthiques qu'avait dû affronter Beckett -- la tragédie du vaccin raté sur Hoff et l'expérience de rétrovirus sur le Wraith Michael. C'est comme si l'ombre du bon docteur planait sur tout cela.
Remarque bis : un Michael génétiquement amélioré, débarrassé, comme il dit, du seul point faible des Wraith, la nécessité de se nourrir sur des humains, c'est encore plus terrifiant.

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