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Nao-Asakura's world
13 juin 2013

The Collection (2012) - moins pire que le premier, mais bon...

collection
Ahah la fin. Bon. On a quand même un peu moins l'impression d'avoir perdu son temps que sur le premier, sans doute parce que le film dure 1h21 (dont 20 min de générique début/fin + les flashbacks du premier film). Le premier, il était inventif dans le sens où le tueur tend un piège à des bourges dans une grande maison, et que ses projets sont interrompus par un cambriolage. Ledit cambrioleur a de la ressource, et ne réagit pas aussi connement que les "héros" habituels des films d'horreur. Il est hors du délire, il a personne à sauver, à part sa peau (dans l'absolu, parce que dans les faits il se fait avoir à chaque fois, dans le premier en tentant de sauver une gamine, et dans le 2e en revenant sur ses pas...).


Donc, ça reprend pile poil là où le premier s'arrêtait, Arkin dans la malle, libéré en plein carnage (c'était à la fois drôle et ridicule, cette boucherie en boîte de nuit... aucun sens, mais bien foutu) par la prochaine victime, qu'il s'empresse d'abandonner à son triste sort (bien, il apprend !).

Sauf que... la gamine a un père qui a de la ressource, lequel engage Arkin et une bande de pseudo-rangers pour la secourir. Jusque là, ça reste ultra classique, en gros c'est le plot du second Alien. Arkin, on sait pas trop pourquoi il les suit, mais bon, il sort à peine de l'hosto, faut le comprendre. Y a un running gag sympa où le chef des rangers lui file des trucs pourris en guise d'armes (une lampe torche, qui se révèle super efficace, puis un couteau de merde).


La maison du Collectionneur, c'était assez bien foutu. Visuellement, ça m'a rappelé plein de trucs disparates au possible, Alien 4 (les "créations" dans les bocaux géants), l'épisode de Doctor Who Classic avec les poupées animées par le Toymaker (la blonde folle et les malles), la maison des horreurs dans ce Preston & Child où le pauvre Smithback se fait découper en morceaux (d'ailleurs si jamais c'est adapté au ciné, je veux Josh Stewart pour le jouer, enfin passons).

Un petit passage type film de zombies, un petit passage à la Saw, plein de seconds rôles massacrés de manière artistique et inventive... J'ai aimé les clins d’œil au premier (ils ont quand même réussi à nous refaire un faux raccord chaussures, sont incorrigibles), et l'humour (involontaire ?) dans la subversion des codes du genre. A la fin, la donzelle en détresse sauve Arkin (wéé !).

Donc, pour conclure, c'était moins énervant que le premier (car plus court et mieux fait), mais aussi moins angoissant (car terrain connu et méchant moins implacable, dans le fond). Même si le coup du bras cassé était horriblement gerbant et super bien fait...

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